Descriptif détailé des enseignements - Master 2

Enseignant : Pénélope Dechaufour

 

Descriptif
Ce séminaire sera consacré à l’histoire des théories postcoloniales et à l’émergence des pensées décoloniales dans une perspective permettant d’interroger leurs usages et leurs répercussions aujourd’hui. Dans un premier temps, nous reviendrons sur les différentes théories ayant structuré le champ des études postcoloniales et décoloniales : Edward Said, Gayatri Spivak, Homi Bhabha, Dipesh Chakrabarty, Ngũgĩ wa Thiong'o, Walter Mignolo, Enrique Dussel, Ramon Grosfoguel, etc. Marquant une rupture vis-à-vis de l’écosystème colonial et traversant plusieurs champs (littéraire, artistique, civil, politique, économique), ces théories renvoient à des pratiques différentes en fonction des espaces de leur expression : intellectuel, médiatique, artistique ou militant. Bien que les deux courants soient à distinguer, il s’agit globalement d’une pensée qui revendique un décentrement vis-à-vis de l’Occident et qui ouvre à des histoires alternatives, enfouies ou minorées, insistant sur les phénomènes d’hybridation et de créolisation propres aux réalités postcoloniales. Nous penchant plus particulièrement sur le cas de l’Europe, nous tâcherons de décrypter les polémiques qui entourent notamment l’émergence du « décolonial » en France depuis les années 2015 : cancel culture, wokisme, appropriation culturelle, restitution du patrimoine. Partant d’une observation des pratiques artistiques trop longtemps maintenues dans les marges bien qu’elles soient exemplaires en termes de réinvention des canons, nous nous intéresserons aussi aux réponses apportées par les artistes face aux assignations et aux rapports de domination ou de hiérarchie qu’ils entendent renverser, déconstruire ou déjouer. Nous nous pencherons donc sur les applications concrètes de ces théories (décoloniser les arts, décoloniser le musée, décoloniser les savoirs, décoloniser l’architecture, décoloniser l’économie) en abordant des travaux récents. In fine, nous verrons que les pensées postcoloniales et décoloniales travaillent surtout à une reconfiguration des imaginaires et à la construction d’un nouvel ordre mondial.

Enseignant : Arnauld Chandivert

 

Descriptif
Croisé avec le Master Anthropologie, parcours « Cultures, identités, mondialisation », ce cours vise à proposer un regard analytique sur le concept et la catégorie d’identité, avant tout dans ses dimensions culturelles et collectives. Il porte son attention sur le déploiement de cette notion dans les sciences sociales à partir des années 1960 et sur sa diffusion dans le monde social peu après, qui a suscité et suscite toujours de nombreux débats. Il s’agit tout d’abord de travailler sur les conditions du succès de cette notion, en les contextualisant et signalant l’existence d’une corrélation entre ce succès et l’affaiblissement des lectures classistes du monde social ainsi qu’avec certaines critiques adressées à la notion de culture. Il s’agit ensuite de proposer un panorama de ses emplois dans différentes sphères, en référence aux diverses politiques de l’identité et à celles dites de la reconnaissance, en passant par ses lectures néolibérales. L’objectif est de proposer des outils critiques d’analyse à propos des contenus de ce terme, de ses usages et des effets qui en découlent, outils à même d’être mobilisés dans les différents parcours des masters ici réunis.

Enseignant : Elodie Hommel
Enseignant : Alessandra Giro

 

Descriptif
Le cours propose de s’intéresser aux représentations culturelles des phénomènes migratoires et d’interroger les stéréotypes, les biais induits par les différents points de vue, le vocabulaire utilisé pour parler des migrations, souvent à la place des personnes migrantes. Il propose d’analyser, en plus du « discours sur », le discours, documentaire, fictionnel, autobiographique, produit par les personnes migrantes elles-mêmes. Pour mieux prendre en compte les circonstances du déplacement, provisoire ou définitif, quelle que soit la ou les raisons l’ayant entraîné, ainsi que les différentes appartenances (de genre, de classe, de religion, etc.), qu’elles soient revendiquées, vécues ou assignées par les sociétés traversées, la réflexion sera conduite à partir des étapes du parcours migratoire, depuis la construction du projet de départ jusqu’à l’installation dans le nouvel environnement et à l’héritage migratoire au fil des générations. Ce cadre fixé, le cours se penchera sur les parcours de personnes migrantes, en particulier lorsque ces parcours conduisent à des projets émancipateurs et/ou à des formes de résistance (sur le plan politique, personnel, familial, social, etc.), qui n’auraient pas pu prendre vie sans le déplacement migratoire, le déplacement pouvant constituer en soi une démarche émancipatrice. Seront notamment convoquées la question des frontières et la notion d’« identité », souvent associées au processus migratoire, qu’on se trouve ou pas en contexte post-colonial. La dernière partie du cours est consacrée aux travaux des étudiant·es, chargé·es, en vue de l’évaluation, d’analyser un document (extrait littéraire, BD, témoignage, photo, extrait de film ou de série TV, entretien, presse, support numérique, jeu vidéo...) choisi pour son adéquation avec le thème du cours (à soumettre à l’enseignante).

Enseignant : Franck Salaün

Descriptif
Le cours portera sur la formation de groupes et de réseaux internationaux à vocation intellectuelle, artistique ou politique. Dans un premier temps, on s’interrogera sur le mode d’existence des « mouvements culturels », sur le rôle des « intermédiaires culturels », ainsi que sur les caractéristiques des prétendues « révolutions culturelles ». On étudiera ensuite une série d’exemples, en particulier les Lumières, en tant que phénomène transnational et ensemble de représentations du 18e siècle à aujourd’hui, et le mouvement surréaliste à travers le monde (manifestes, expositions collectives, revues, etc.)..

Descriptif
Le cours se propose d’analyser des transformations contemporaines de la stratification sociale de la société française et les effets de ces dernières sur les pratiques sociales des classes populaires en matière de culture. Dans un premier temps, il montre pourquoi et comment on peut encore parler de classes sociales. Il s’attache notamment à analyser les formes de différenciation internes aux classes populaires (fractions stabilisées/pas stabilisées, en mobilité sociale ascendante ou non, etc.) et revient sur des questions et concepts clés de la sociologie générale : habitus et style de vie, capital culturel et culture légitime, culture dominée / culture dominante, mobilité sociale. Dans un deuxième temps, il se recentre sur les grandes questions qui traversent la sociologie de la culture : y a-t-il encore une/des culture(s) de classe ? Quel(s) rapport(s) les classes populaires entretiennent-elle avec à la « culture de masse » ? Qu'en est-il des hiérarchies culturelles au temps de l’éclectisme ? L’éclectisme des pratiques culturelles marque-t-il une métamorphose des rapports de domination ? Pour traiter ces questions le cours aborde tour à tour la sociologie de(s) publics (qu’est-ce qu’un/des public(s) populaires ?), la sociologie des pratiques culturelles, la sociologie de la « consommation » et de la « réception ». Le cours repose sur la participation active des étudiants et toutes les séances s’organisent sur la base d’une discussion des textes distribués aux étudiant·e·s. Chaque étudiant·e· devra donc se présenter en ayant lu les différents documents distribués (articles, extraits d’ouvrages) et préparé une rapide note de lecture servant à alimenter la discussion. Ce fonctionnement vise à faire participer le plus grand nombre au travail méthodologique de la discussion scientifique. L'objectif est d’impliquer au maximum les étudiant·e·s et de valoriser l'assiduité au travail.

Bibliographie
Pierre Bourdieu, La Distinction, critique sociale du jugement, éditions de Minuit, 1979. Philippe Coulangeon, Sociologie des pratiques culturelles, La Découverte, coll. « Repères Sociologie », 2010. Philippe Coulangeon, Julien Duval (dir.), Trente ans après La Distinction de Pierre Bourdieu, Paris, La Découverte, coll. « Recherches », 2013. Vincent Dubois, La politique culturelle. Genèse d'une catégorie d'intervention publique, Paris, Belin, coll. « Socio-histoires »), 1999. Claude Grignon & Jean-Claude Passeron, Le Savant et le Populaire. Misérabilisme et populisme en sociologie et en littérature. Paris, Seuil, coll. « Points », 2015 (1re éd. Gallimard/Seuil, « Hautes études », 1989). Cédric Hugrée, Etienne Pénissat, Alexis Spire, Les classes sociales en Europe. Tableau des nouvelles inégalités sur le vieux continent, Marseille, Agone, coll. « L'ordre des choses », 2017. Olivier Masclet, Séverine Misset, Tristan Poullaouec (dir.), La France d'en bas ? Idées reçues sur les classes populaires, Paris, Editions Le Cavalier Bleu, coll. « Idées reçues », 2019, 200 p. Pasquali Paul, Schwartz Olivier, « La culture du pauvre : un classique revisité. Hoggart, les classes populaires et la mobilité sociale », Politix, 2016/2 (n° 114), p. 21-45. Yasmine Siblot, Marie Cartier, Isabelle Coutant, Olivier Masclet, Nicolas Renahy, Sociologie des classes populaires contemporaines, Paris, Armand Colin, col. « U Sociologie », 2015, 363 p. Gisèle Sapiro (dir.), Dictionnaire international Bourdieu, Paris, CNRS, 2020.

Enseignant : Lambert Barthélémy

Descriptif
Ce séminaire propose de considérer l’histoire, les formes et les logiques de la culture de masse issue de l’après-guerre, c’est-à-dire la culture native de la société de consommation et de communication, qui s’est constituée dans une relation complexe, souvent oppositionnelle, aux cultures savantes, mais aussi aux particularismes des cultures populaires. Culture du désir et du plaisir, fondamentalement déterminée par une logique productiviste et une dynamique uniformisatrice, la culture de masse est aujourd’hui largement hégémonique à l’échelle des démocraties libérales, voire de la planète. Après quelques séances de cours permettant de mettre en place des repères historiques et quelques outils d’analyse, nous travaillerons sur des cas concrets, des œuvres (musique, cinéma, littérature graphique, etc.) ou des problématiques spécifiques – on s’interrogera par exemple sur la notion de kitsch, sur le recyclage et la banalisation des cultures populaires d’opposition dans le maelström de l’industrie culturelle, sur l’accélération de la spectacularisation dans les sociétés contemporaine, sur la dialectique subversion / subvention (Rainer Rochlitz) ou sur la notion d’infantilisation culturelle. Il sera également possible de réfléchir collectivement sur les thématiques ou les objets que vous aurez choisi de traiter dans vos mémoires.

Enseignant : Aurélie Knüfer
Intervenants : Aurélie Knüfer & Aude Haffen

Descriptif
Ce séminaire visera à présenter un panorama des théories LGBT & queer contemporaines, en les inscrivant dans leur contexte politique, historique, social et culturel singulier. Il en présentera les différents courants, débats et polémiques. Il interrogera le lien entre les théorisations et les luttes effectives menées par les communautés LGBTQI+ depuis la fin du XIXe siècle, pour la défense et la reconnaissance effective de leurs droits et en vue de transformations sociales radicales.
Le séminaire sera l’occasion de questionner les raisons de l’invisibilité de ces théories, ou du moins de certaines d’entre elles. Y sera notamment discutée la question de savoir dans quelle mesure le succès des théories queer n’a pas pour contrepartie de faire oublier ou de marginaliser les théories lesbiennes et gays qui les ont précédées. Nous aborderons également la question de la représentation des cultures LGBTQI+ dans les arts et la littérature.
Chaque séance sera consacrée à l’étude et à la discussion d’un·e auteur·rice ou d’un courant particulier. Elle devra être préparée, en amont, par chaque étudiant·e, par le biais de la lecture d’un ensemble de textes, communiqués au fur et à mesure.
Afin de préparer au mieux ce séminaire, nous encourageons les étudiant·e·s à consulter la bibliographie indicative ci-dessous et à commencer la lecture d’un ou plusieurs textes présentés dans la catégorie « Philosophie, théorie critique, essais ».

Enseignant : Claire Ducourneau

Description
Cet enseignement explore les champs de production littéraires et artistiques au prisme du genre, en envisageant les conditions sociales et matérielles de création (1), la forme symbolique des œuvres (2), et les mécanismes de leur consécration (3). Depuis plusieurs décennies, différents travaux à la croisée des études féministes, de genre et queer, de l’histoire sociale, de la sociologie des arts et de la culture, des études littéraires et artistiques ont entrepris de réhabiliter les créatrices et de rendre compte des raisons de leur éviction régulière des canons culturels et des corpus pédagogiques. En raison de leur moindre accès historique à l’éducation et à l’espace public, ces dernières ont été moins nombreuses que leurs homologues masculins, et/ou marginalisées en termes de reconnaissance et de postérité artistique. Qu’elles soient écrivaines, musiciennes, danseuses, réalisatrices ou artistes plasticiennes, les femmes restent encore aujourd’hui, comme dans d’autres secteurs professionnels, d’autant moins visibles qu’on s’élève dans les différentes hiérarchies propres aux champs culturels. Au-delà de ces démarches de valorisation, indispensables pour (re)découvrir ces productions féminines, il s’agit aussi d’analyser les positionnements concomitants des créateurs masculins, et la manière dont les rapports sociaux de sexe s’articulent à d’autres rapports de pouvoir liés à la race, à la classe, à l’âge, à l’orientation sexuelle, etc. Comment les normes et valeurs masculines et féminines, les représentations de la sexualité, les mobilisations et les pratiques féministes ou au contraire masculinistes qui irriguent les mondes de l’art ont-elles contribué à en façonner différentes configurations ? Comment analyser et comparer au prisme du genre les carrières, les discours, y compris médiatiques, et surtout les œuvres, situées au cœur des mondes artistiques et des enjeux qui s’y disputent, jusque dans les transgressions qu’ils opèrent sur les normes établies ? L’enseignement alternera des exposés synthétiques avec des discussions sur des textes et sur des recherches en cours. Il envisagera différentes approches théoriques et méthodologiques pour étudier empiriquement le sexe de la culture. La variété des sources (des archives aux œuvres) et des procédures d’enquête (statistiques, ethnographiques, documentaires) qu’il est possible de mettre en œuvre nourrissent ainsi des jeux d’échelles, du macro (biographie collective, circulations transnationales, rapports nord/sud) au micro (étude de cas, analyse des esthétiques), en passant par des niveaux intermédiaires (sociabilités plus ou moins rapprochées, socialisations et contextualisations, etc.).

 

Descriptif
Ce cours propose d’appréhender, à partir d’une démarche de sciences sociales, les usages et les effets sociaux, politiques et culturels des technologies numériques, et en particulier d’Internet. L’adoption d’une démarche scientifique invite d’abord à déconstruire certaines prénotions technicistes véhiculées dans le champ médiatique à propos de la « révolution numérique », relatives par exemple au danger que les « fake news » feraient peser sur la démocratie, à la capacité supposée des algorithmes à « manipuler » les citoyens, ou encore à l’« anomie » et à l’« individualisme » dont seraient responsables les réseaux sociaux, etc. Il s’agit ensuite de retraduire ces interrogations dans un langage et un raisonnement sociologique, en mobilisant pour ce faire les outils conceptuels et théoriques des sciences sociales. À cette fin, le cours accorde une large place à la lecture de publications scientifiques, qu’elles soient récentes et spécialisées sur ces enjeux numériques, ou plus canoniques. Enfin, l’adoption de la démarche scientifique invite à être attentif aux enjeux méthodologiques soulevés par l’analyse des phénomènes numériques, notamment en ce qui concerne la caractérisation sociologique des publics. Le parti-pris du cours est d’analyser les pratiques des agents sociaux sur la toile à l’aune de la position qu’ils occupent dans l’espace social « réel ».

Bibliographie
Christine Barats (dir.), Manuel d’analyse du Web, Paris, Arman Colin, 2013.
Dominique Boullier, Sociologie du numérique, Armand Colin, 2016.
Dominique Cardon, La démocratie Internet, Promesses et limites, Seuil, 2010.
Dominique Cardon, Culture numérique, Paris, Les Presses de Sciences Po, 2013.
William H. Dutton, The Oxford Handbook of Internet Studies, Oxford university Press, 2019.
Patrice Flichy, Le règne de l’amateur, Sociologie des passions ordinaires à l'ère numérique, Seuil, 2010.
Josiane Jouët, Rémi Rieffel R. (dir.), S’informer à l’ère numérique, 2013, Presses universitaires de Rennes.
Dominique Pasquier, L’Internet des familles modestes, Paris, Presses des Mines, 2018.
Franck Rebillard, Le Web 2.0 en perspective : Une analyse socio-économique de l’Internet, L’Harmattan, 2007.
Nikos Smyrnaios, Les GAFAM contre l’internet, une économie politique du numérique, Paris, INA éditions, 2017

Descriptif
Cet enseignement consiste en une participation obligatoire des étudiants à l’« Atelier des études culturelles», le séminaire de recherche du master d’études culturelles, dont le calendrier et le thème seront communiqués à la rentrée. Chaque étudiant.e devra ensuite rédiger un dossier de synthèse, dont les modalités seront précisées sur Moodle par l’équipe pédagogique du master, portant sur l’ensemble de l’atelier.
Descriptif
Les étudiant.e.s effectueront un stage obligatoire en relation avec les mondes de la culture d’une durée minimale d’un mois (154 heures, réalisées d'un seul tenant ou de manière fragmentée) et d'une durée maximale de six mois. Ils/elles seront placé.e.s sous la double responsabilité d’un tuteur pédagogique dans le master et d’un tuteur professionnel dans l’organisme d’accueil. Le tuteur pédagogique dans le master sera le directeur/ la directrice de recherche. C'est lui /elle qui, à ce titre, signera la convention de stage. Le stage doit obligatoirement faire l'objet d'une convention. Voir les informations générales au sujet des stages au début du fascicule. Les étudiant.e.s rédigeront ensuite un rapport de stage d’environ une vingtaine de pages qui sera évalué par leur directeur/directrice de recherche. Les modalités de ce rapport, qui peuvent être complétées librement par chaque directeur/directrice, sont disponibles dans le document de cadrage figurant dans l’espace Moodle du master d’études culturelles, rubrique « Informations pratiques ». Seul ce stage obligatoire pourra faire l'objet d'une convention de stage dans le cadre du master d'études culturelles. Les étudiant.e.s ont également la possibilité de faire un ou plusieurs autres stages facultatifs. Dans ce cas, ils doivent doivent passer par le SCUIO-IP pour obtenir une convention, qui sera signée de nouveau par leurs directeurs/directrices de recherche. Ces stages facultatifs ne seront pas évalués et ils ne valideront aucun crédit. Les étudiant.e.s occupant un emploi pourront, s’ils/si elles le souhaitent, être dispensé.e.s du stage sur présentation d’un contrat de travail à leur directeur/directrice de recherche. A place du rapport de stage, ils/elles rédigeront une Analyse de leurs pratiques professionnelles en relation avec les études culturelles, qui sera évaluée par leur directeur/directrice de recherche selon les mêmes modalités que le rapport de stage.
Descriptif
Les étudiant.e.s rédigeront un mémoire d’environ 100 pages, hors annexes, qui fera l'objet d'une soutenance à la fin du mois de juin ou au plus tard pendant le mois de septembre. Les étudiant.e.s qui ont effectué leur première année dans le master d'études culturelles continueront leur recherche avec le/la même directeur/directrice de mémoire. Ceux/celles qui souhaitent changer de directeur/directrice et ceux/celles qui rejoignent la formation après un autre master 1 sont invité.e.s à solliciter directement les enseignant.e.s.

 

 

Dernière mise à jour : 05/09/2024